samedi 27 février 2010

shit happens et conditionnement opérant


Voir son chat jouer avec une souris en fourrure quand tu lui as jamais acheté de souris en fourrure... ça crée un malaise...




Aujourd'hui, grand jour. J'avais envie d'en savoir plus sur le Nobel Pavlov, aussi je me suis ruée sur le très sélect site de la vérité absolue et de la science infuse wikipédia, pour me rendre compte que son prénom est Ivan et non Lechiende, comme je l'avais toujours cru. Comme disait Perline à propos des poules qui pondent plus d'oeufs quand il y a de la musique "on en apprend tous les jours"!

La vie sous un autre angle:
Je rêve de vivre dans un monde où shit happens excuse tout. Sans riposte, sans argument. Shit happens. Voilà. Selon l'intensité du drame, on ajuste le timbre de voix. Patron?... shit happens. Monsieur l'agent?...shit happens. Chéri?...shit happens. Hmmmm paix et sérénité forever avec ce short cut qui castre to the go la tergiversation. Et s'il y avait une compétition de plogage d'anglicisme dans une même phrase, j'espère que je viendrais de bien me qualifier.

Mais comme le temps est précieux et que je dois filer:
Avant de quitter je m'en voudrais de ne pas dire que retourner avec son ex, c'est jamais qu'un plan foireux. Fréquenter des gens mariés, bof. Payer 8$ pour des p'tits rack de plastique pour rouler 5$ de change, c'est pas un hit non plus. Mais le pire c'est de mettre des assiettes dans lequel il reste du jaune d'oeuf dans le lave-vaisselle. Alors là, t'es salement pris dans un piège à con.

vendredi 19 février 2010

venir à bout d'une canne de sirop d'érable avant que ça cristalise: mission impossible


Y a-t-il une autre profession où on met sa photo sur un calepin que celle d'agent immobilier? C'est à considérer dans un choix de carrière. Noël Riendeau. J'imagine que ça lui fait rien, à Noël, que j'en parle. Après tout, il met sa photo sur des calepins.

Quand j'ai dit ça suffit les olympiques et qu'on m'a martyrisé du regard, ça m'a replongé dans une douce nostalgie:

Des choses taboues de la vie, je me souviens avoir exploité "rien à foutre de la Sagrada Familia". C'était à Barcelone, of course. J'avais passé des heures à attendre pour visiter l'oeuvre grandiloquant, mais surtout inachevé de Gaudi (prononcer Ga o di en trois temps bien distincts sinon ça sonne inculte). Soleil cuisant de début d'après-midi, promiscuité touristique, blabla. Puis enfin mon tour. J'entre dans le temple, je monte jusqu'au ciel. Je redescend. "Rien à foutre de la Sagrada Familia". Et ça a jeté un froid dans le "line-up". Morale: je préfère Madrid. Tututut... je veux rien entendre.

On s'était donné rendez-vous pour un dej dominicale. Point de rencontre: le Bond, coin St-Urbain et Fairmount. J'avais lu dans une revue montréalaise que chez Bond "pour récupérer des soirées arrosées, on propose MÊME un menu de brunch la fin de semaine" après quoi on s'est pété le nez sur une porte verrouillée, chaises grimpées sur les tables qu'on remarque depuis la fenêtre. Fuck off. Des menteurs. Chez Bond, on n'y retourne pas. Je crois que s'il n'y avait pas eu le "même" dans l'article, le mal aurait été moindre... mais là, ce "même", ça sonne condescendant et prétentieux. Morale: quand tu sonnes condescendant et prétencieux, lève-toi au moins le matin, ça t'accorde plus de temps pour faire chier.


Je m'en voudrais de quitter sans dire que c'est souvent du monde louche qui véhicule les concepts de pastorale.


Est-ce qu'il existe un synonyme pour "tabou"? Ça éviterait d'avoir à le ressortir une prochaine fois.










vendredi 12 février 2010

chaussures d'enfer


On est vendredi... je blogue, j'ai menti, j'irai en enfer.


Quoi qu'il en soit, ce fût une bonne semaine. Avec un lundi, un mardi, et le reste, bref, rien d'anormal. Ç'aurait pu être différent. Ç'aurait pu être la semaine des quatre jeudis, par exemple. Ça peut être cool quand c'est celui de la paye, mais sinon, t'arrives au week-end complètement naze!


J'ai aussi profité de mes temps libres pour réfléchir au sens de la vie et deux constats majeurs ressortent de ces tempêtes d'idées (traduction affreuse de brainstorming, quoique brainstorming figure dans le Robert et si Robert le dit eh bien moi je l'écris...). Deux constats majeurs ressortent, donc:

1- tous les parents disent, un jour ou l'autre, que leur enfant est allumé pour son âge. TOUS. Ils le pensent TOUS. Morale de l'histoire: il y a les enfants et il y a les enfants retards. Il y a certes quelques exceptions-génies, mais pas dans chaque famille. C'est impossible. Alors être allumé pour son âge, ça veut seulement dire "développement normal". Mais je n'impose mon concept à personne. Vous pouvez continuer avec votre allumage d'enfant, au fond de nous, nous savons la vérité et c'est ce qui compte réellement.


2- les pires rabat-joie et/ou emmerdeur sociaux cachent leur attitude de merde derrière le prestigieux statut d' "avocat du diable". Les pires discussions au monde virent toujours au "si je me fais l'avocat du diable..." Moi je dis non!!!, si tu te faisais plutôt frapper par un camion. Je doute que le diable n'ait besoin d'un avocat, et si tel est le cas, pourquoi toi... grand diplômé du Barreau de l'enfer? Mon cul!


La vie est belle, je m'en voudrais de ne pas souligner le fait que je me suis procuré des chaussures imaginées et créées par Vivienne Westwood (c'est elle sur la photo). C'est comme ça la vie, des nouvelles chaussures et hop! fuck le temps des impôts, l'hiver trop long et les pattes d'oies qui se dessinent lentement mais sûrement sur ma grosse face.









samedi 6 février 2010

se faire tirer du lit pas de la bonne façon


Tu remets ta couette dans la housse de couette et t'as pas besoin d'aller au gym du reste de la semaine.

Je décrète samedi jour de blog. Blog day, pour les nombreux anglos qui laissent ici de précieuses minutes de leur humanité. Mais comme toutes décretions, ça se négocie, c'est flexible. Note à moi-même: vérifier décretion dans le Robert. À ce propos, oui. Je suis Robert. Je ne crois pas en Larousse. À part que ça fait un objet pratique pour tenir une porte ouverte, au chalet. Blog day, donc.


J'ai pour projet de faire un grand tri de la race selon la police d'écriture favorite. L'hémisphère arial pèserait sûrement lourd, quoique times fasse la job parce que police "officielle" (un genre de SQ).

Et sur une petite île, les indécrottables comics sans ms la marque de commerce des annonceurs cheap de chiots à donner et de recherche coloc, mais surtout la raison d’être des étudiantes en enseignement au primaire… arrête, je veux y aller...

Moi moi moi je suis arial. Eh oui. Conventionnelle à la mort.


Contenu intellectuel, genre de discussion entre un extrait de livre de finance et moi-même: la calculatrice financière est une arme à deux tranchants. Mais pourquoi, diable, aurais-je envie de demander!? Parce qu'elle permet certes une augmentation marquée de la rapidité d'exécution, mais au prix d'une baisse de la compréhension. Ah. Hey. Merci de m'avoir prévenu. Pfff, et on permet ça dans nos écoles... qu'on tolère le kirpan, ok, mais la calculatrice financière?

Je m'en voudrais de ne pas le souligner: Je suis Robert, je suis arial... ça gosse étrangement ce genre de réflexion. Excuse-moi. (Et non pas je m'excuse, ok? il faut dire excuse-moi.)

Décretion, c'est pas dans le Robert. Bah, on le dira simplement entre nous...